Lolcat
Faisons dans la métaphore outrancière, à base de chatons (puisqu’ils sont le moteur des zinternettes).
Il y a trois semaines, le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution des chatons) sort un rapport alarmant sur l’augmentation vertigineuse de la torture des chatons.
Le même jour, LE MÊME JOUR, le Président de la République visite un pays nortaméricain comme dirait l’autre, qui a investi massivement dans la torture des chatons. Admiratif, le Président s’exprime et plaide pour que des entreprises françaises s’y impliquent dans la lucrative torture des chatons.
Je souhaite que la France puisse continuer à mettre en valeur les immenses richesses du Nord-Ouest nortaméricain, que ce soit dans les techniques d’exploitation, de transformation, d’acheminement des chatons, ou que ce soit dans la construction d’infrastructures.
Trois semaines plus tard, donc, TROIS SEMAINES PLUS TARD, le Président préside une conférence sur la sauvegarde des chatons, et la presse nationale titre, sans ironie, Hollande aime-t-il les chatons ?
Cette combinaison toxique de mémoire de chaton poisson rouge et de déférence vis-à-vis du pouvoir, je n’en PEUX PLUS.
Je vais aller torturer un chaton pour me calmer.
Au début, ils étaient cinq.
Chacun dans leur coin, ils fulminaient abondamment. Don Quichotte des temps modernes, ils affrontaient les moulins à parole du TINA. En vain et contre tous, ils résistaient sur les Internets, confortablement assis dans leur fauteuil. Le couteau entre les dents, les doigts sur le clavier, leur combat héroïque était sans merci.
Ils firent, chacun de leur côté, ce constat amer : « Tout seul on est rien, ensemble on est trop ».
Logiquement, ils décidèrent d’être quelques uns.
encore un mélenchoniste qui isulte les poissons rouges alors qu’ils ont trois mois de mémoire soit plus que François Hollande
http://resistanceetamour.over-blog.com/militant-fdg-je-pr%C3%A9sente-mes-excuses-aux-poissons-rouges