La Cellule Gauchiste
Clumsy
Gauchiste plongé en apnée dans un monde de droite. En deuil de la force intrinsèque des idées vraies. J’aime manger des enfants au petit-déjeuner mais avec un couteau entre les dents, c’est pas pratique.
CorinnePerpinya
Adepte du parler cru et dru ce qui n’empêche pas une certaine poésie. Colèrophile patentée, j’avance telle la pasionaria, mon petit poing levé. Je suis un troll (ou une crétine) du PG. Comme il se doit, je mange les enfants (mais pas trop c’est indigeste). En attendant la révolution citoyenne, je fais des #mursdescons pour les envoyer au goulag. Mon héros est Jean-Mimi Aplatie, chef du bureau des #journalistesassis. Un sacerdose. En bref, j’ai terrorisé Edwy Plenel, tu comprendras qu’il ne faut pas me chatouiller, je suis très réactive. #mouarf
Fabuland
Rouge et Vert, décoiffé et mal rasé. Une fois, j’ai voté Bleu, ça n’arrivera plus, jamais. Parfois, j’ai voté Rose, c’est fini. Il a viré Orange, et mon daltonisme n’a rien à voir avec ça. Je ne crois ni en Dieu, ni en la Croissance. Je ne suis qu’amour, mais faut pas m’emmerder !
La France a peur
Membre du comité central du redimensionnement d’images. Adepte du #goulagpourcertains. Gauchissss invétéré. Borisviantophile. Je n’en reste pas moins un troll attachiant à mes heures perdues. Passe parfois sur #DPDA et parfois sur la Comète. #photononcontractuelle
Sknob
Franglophone songwriter, cartoonist, translator, geek, #ronchonchon. Vieux Sage, déjà blogueur au XXe siècle, je ne supporte ni l’injustice, ni la mauvaise foi, ni les gens qui réfléchissent avec le cerveau d’autrui, ni les betteraves. En revanche, j’ai un peu le melon depuis que j’ai publié un billet sur le blog de Paul Jorion. Mes camarades m’ont à l’œil…
Au début, ils étaient cinq.
Chacun dans leur coin, ils fulminaient abondamment. Don Quichotte des temps modernes, ils affrontaient les moulins à parole du TINA. En vain et contre tous, ils résistaient sur les Internets, confortablement assis dans leur fauteuil. Le couteau entre les dents, les doigts sur le clavier, leur combat héroïque était sans merci.
Ils firent, chacun de leur côté, ce constat amer : « Tout seul on est rien, ensemble on est trop ».
Logiquement, ils décidèrent d’être quelques uns.
À vous