Offrande, 2e partie
Si Comme tu as lu l’épisode précédent du #LeFeuilleton, tu vas peut-être me dire que je ne fais que jouer sur les mots, mais..
Archives mensuelles
Rencontre avec Pierre Larrouturou
En mai 2013, alors que le collectif Roosevelt tentait de réveiller l’Assemblée Nationale, nous avions croisé la route de Pierre..
Offrande, 1ère partie
Social-démocrate, social-libéral, sociétal-libéral, dictateur bolchévique, personne n’est d’accord. Toutefois, on doit..
Grignotage, par @CathyHope2
En raison du matraquage publicitaire de Babordages, j’ai bien peur que ce billet ait au moins un lecteur ou une lectrice. Donc, public..
Le libéralisme peut soigner les troubles de l’érection, par @EmilePouget07
C’est un bijou. Une perle. Superbe, tout simplement. On avait rien vu de plus beau depuis Vive la crise ! en 1984 ou La..
Light my fire
Le suicide reste la solution. C’est triste. À qui profite le crime ? Il arrive parfois que des informations ou sujets se..
La fraude sociale, nouveau combat de la « gauche »
Que le PS soit (enfin! soupireront les éditocrates) à son 25ème Bad Godesberg n’est pas nouveau. Qu’il ait pris un tournant..
Répression Nerveuse, par @barroumatt (deuxième partie)
Lire la première partie À la recherche de la potion magique, Panoramix chez les Labos Le petit Vincent, il prend lui aussi des..
Répression Nerveuse, par @barroumatt (première partie)
Liberté, Égalité, Pilules pour tous ! Marc et Virginie sont originaires de Normandie. Ils ont deux enfants : Martin, 5 ans et Anna, 14..
La terrasse
Confortablement installé à la terrasse chauffée du café en bas de chez lui, Victor ferma les yeux pour mieux ressentir les rayons du..
Au début, ils étaient cinq.
Chacun dans leur coin, ils fulminaient abondamment. Don Quichotte des temps modernes, ils affrontaient les moulins à parole du TINA. En vain et contre tous, ils résistaient sur les Internets, confortablement assis dans leur fauteuil. Le couteau entre les dents, les doigts sur le clavier, leur combat héroïque était sans merci.
Ils firent, chacun de leur côté, ce constat amer : « Tout seul on est rien, ensemble on est trop ».
Logiquement, ils décidèrent d’être quelques uns.
À vous